Qui suis-je et d'où je viens ?
Alsacien pur jus, j’ai fait ma première rencontre avec le Gers, en même temps que l’apparition du nouveau siècle.
C’était dans le cadre d’une mission liée à mon job au sein d'une GE en installation de radiotéléphonie.
L’année suivante j’avais décidé de voler de mes propres ailes en m’installant en région PACA.
Finalement, c’est en 2007 que j’ai décidé de passer de ‘midi moins le quart’ à midi plein ! C’était dans l’intention d’y passer ma retraite.
Méritée, je ne sais pas, mais paisible en tous cas, genre ‘le bonheur est dans le pré’...
Pourquoi ai-je choisi le Gers ?
Dès ma première visite dans le département, je me suis tout de suite senti bien dans ce terroir à l’accent solaire et grâce à ceux qui sont attachés à leurs traditions. J’ai également apprécié le cœur ouvert d’un pays dit de Cocagne, contrée imaginaire où tout est riant et en abondance, synonyme de fêtes et de réjouissances. J’ai beaucoup apprécié la notion de service et de respect de la part des gersois. Ici les gens vous disent ‘bonjour, merci, avec plaisir, au revoir’. Cela me changeait des dernières années passées dans le ‘paraître’ et du ‘tout pour moi rien pour les autres’.
Mes rencontres avec le Gers profond - rencontres avec des sourciers et des magnétiseurs entre-autre - m’ont permis de découvrir un monde dit ‘invisible’ et réfuté par le scientifique que je suis. Cependant, tout bon scientifique qui se respecte se doit également de vérifier par l’expérience ce qui, semblait-il, fait partie de l’irrationnel si ce n’est de la supercherie ou, pire, des croyances. Bien m’en pris, j’étais capable de reproduire ces phénomènes et d’en transmettre la connaissance.
Ma décision était prise : c’est ici que je continuerai à approfondir la recherche du savoir perdu.